22.4.2013

Strasbourgin filharmoninen orkesteri esittää suomalaista musiikkia

Milloin? Perjantaina 26. huhtikuuta 2013 klo 20.30

Missä? Palais de la Musique et des Congrès – Salle Erasme

Mitä musiikkia? Sallinen, Lindberg, Sibelius: tarkempaa analyysia täältä

Konserttia edeltää klo 19.30 alkava vapaa yleisöluento Lindbergin klarinettikonsertosta
(huom. sama talo, mutta eri sali: Salle Oberlin)

Siirry jo orkesterin sivuille lippuja ostamaan tästä!



Orchestre Philharmonique de Strasbourg
Newsletter du 19 avril 2013 / Numéro 81


Lumières nordiques

concert du vendredi 26 avril 2013
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©Marco Borggreve


Préparez-vous pour un parcours de montagnes russes lorsque le virtuose de la clarinette Kari Kriikku jouera le concerto que le grand compositeur finlandais, Magnus Lindberg, a écrit pour lui ! Kriikku est un virtuose hors pair de la clarinette et un artiste d’un courage et d’un charisme inépuisables. Espiègle, lancinante, poétique mais surtout ravissante, voilà une œuvre contemporaine irrésistible. Elle est associée à la Symphonie n°2 de Sibelius, qu’il commença à composer en Italie, œuvre empreinte d’optimisme et de lumière autant que de la profondeur et de la lucidité propres à Sibelius.
Ari Rasilainen direction Kari Kriikku clarinette
Sallinen Palatsin Porteilla op. 68a (Aux portes du palais) Lindberg Concerto pour clarinette et orchestre Sibelius Symphonie 
n° 2 en ré majeur op. 43
Palais de la musique et des congrès, salle Erasme - 20h30



Avant-propos musical 
Un nouveau style scandinave ? : Le Concerto pour clarinette de Magnus Lindberg 
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S’inscrivant dans la sphère de pièces comme le Concerto pour piano (1990-94), 
celui pour violoncelle (1997-99/2001), Campana in aria pour cor et orchestre
(1998) ou encore le Concerto pour violon (2006), le Concerto pour clarinette 
de 2002, dédié à Kari Kriikku, participe d’une évolution stylistique initiée par
le style avant-gardiste de Kraft ou Ur puis orientée vers une forme d’hédonisme 
sonore dont les œuvres des années 2000 sont représentatives. Aussi maîtrisé 
qu’Aura ou Corrente, le Concerto pour clarinette semble proposer par son 
écriture, plus diatonique qu’auparavant, une tentative de dépassement des 
héritages aussi apparemment contradictoires que le langage des années 
sérielles et celui du spectralisme, sans renier l’influence du style orchestral 
de Sibelius ou Rautavaara.
 Vendredi 26 avril 2013 _ 19h30 à 20h15 // PMC Salle Oberlin

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